• Présentation

    Je m'appelle Abdelillah Hajji, je suis en 2éme éducateur spécialisé à la Haute Ecole de Bruxelles - Defré.

    Pour le cours d'éducation aux médias et des technologies de l'information et de la communication, j'ai réalisé un projet qui consiste à favoriser l'accès à l'information en maison de repos.

    J'ai choisi ce public car j'ai fait mon stage de 1ére en maison de repos et donc j'ai pu constater au sein de l'institution l'absence de l'information chez les personnes âgées. 

    Pour m'aider dans cette démarche aller visiter mon blog.

    Bonne visite

     

     

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    Source: http://www2.lyc-hugo-marseille.ac-aix-marseille.fr/spip.php?rubrique99

     

    Comme le décrit  Jacques Piette :

    « L’éducation aux médias a pour but de développer la pensée critique. L’avoir des connaissances sur les médias paraît être secondaire par rapport au projet éducatif central. Elle permet de chercher à comprendre la nature des effets qu’a la production médiatique sur nous. Les relations que nous avons avec les médias peuvent-être individuelles ou collectives."

    "L'éducation aux médias a pour finalité de rendre chaque citoyen actif, autonome et critique envers tout document ou dispositif médiatique dont il est destinataire ou usager."

    L’éducation aux médias est une manière d’éduquer comme il est dit au-dessus, elle nous permet de nous s'apprendre et de développer un sens critique. Elle  est présente dans notre quotidien. Parfois sans en prendre conscience, nous utilisons les médias tous les jours. Elle nous permet donc d’une certaine manière de rentrer dans un processus de socialisation. A notre époque, les médias sont partout et diversifié. 

    Je pense que l’éducation aux média permet d’acquérir des connaissances et développer  une pensée ou une opinion qui peut être utilisé avec différent public. Pour moi  L'objectif est d’avoir un certain recul par la prise de conscience des fonctionnements des médias, de leurs contenus comme de la mise en perspective des systèmes dans lesquels ils évoluent.  

      source:

    1) Jacques Piette, d’Éducation aux médias et fonction critique, L’Harmattan, Col. Éducation et formation, 1996.

    2) www.educationauxmedias.eu/csem/textesPositionnement

     

     Définition

     

    Education: "Conduite de la formation de l'enfant ou de l'adulte."

    Les médias: "Procédé permettant la distribution, la diffusion ou la communication d'œuvres, de documents, ou de messages sonores ou audiovisuels."

    Source: Dictionnaire Larousse, année 2011

     

                       Définition de la profession d’éducateur spécialisé 

    "L’éducateur  spécialisé c’est être amené à rencontrer des personnes, avec une multitude de difficultés  à la fois sociales et morales ou encore physiques. Il conduit une action éducative avec ceux-ci dans le but d'éveiller et de développer leurs capacités et leur personnalité et de favoriser leur intégration dans la vie sociale.

    L’accompagnement psycho-éducatif d’un éducateur spécialisé, c’est tout d'abord un travail social qui donne de l’importance à l’observation et à l’écoute de l’individu qu’il accompagne mais aussi le soutenir dans le milieu dans lequel il évolue. La relation qu’il aura établi avec les personnes qu’il accompagne est fondamental pour pouvoir  intervenir de la meilleure façon qui soit. En mettant en place différentes méthodes, l’éducateur spécialisé privilégiera le développement personnel et l’autonomie des personnes qu’il accompagne. Son rôle de travailleur social n’a pas d’heure fixe ou d’agenda organisé, l’éducateur doit toujours être disponible."

     Source: http://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/le-role-de-l-educateur-specialise-48627, consulté le (21/11/2012).

     

    L'éducation aux médias  dans la profession d'éducateur

     

    L'éducation dans le métier d'éducateur est un mot  important. Car il permet de transmettre un savoir et des valeurs à son public. L'éducation aux médias est un outil ou plutôt un apprentissage qui faut savoir manier afin que chaque personne développe un esprit critique sur ceux-là. 

     


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    http://www.20minutes.fr/television/283050-vieux-regardent-plus-tele-jeunes

     

    Le public visé par le Blog est les personnes âgées en maison de repos.

     

    Comme il est définit dans Les Maisons de repos. be  « La Maison de Repos : il s'agit de l'établissement qui peut être public ou privé. 
    Ces institutions s'adressent à des personnes de plus de 60 ans qui y résident de façon habituelle. Dans ces maisons de repos, le logement mais aussi les services collectifs, les aides à la vie journalière et si nécessaire des soins sont organisés. »

    Ref: http://www.lesmaisonsderepos.be/mrdef.htm 

     


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    Mon expérience en maison de repos

    Lors de mon stage de 1ére année éducateur spécialisé en maison de repos, j’ai pu remarquer que les résidents avaient plusieurs problématiques telles que : Alzheimer, problème moteur, personne isolé,....

     

    Mais dû à ce stage, j’ai également remarqué quelque chose qui est pour moi important. La problématique  c'est que les résidents n’avaient pas d’accès à l’information et donc ils étaient totalement déconnectés de la vie extérieure. Pourtant les médias sont présents et diversifié dans cette maison de repos, mais malheureusement l'organisation de la maison de repos ne donne pas assez de temps à l'accessibilité des médias chez ce public.

     

    Public pour le projet:

    Des personnes âgées entre 60 et 90 ans, placés en maison de repos. Personne avec plusieurs types de problématique.

        Les caractéristiques du public : 

     

    ·         Isolement : Les principales causes d’un  isolement d’une personne âgée sont la mort d’un conjoint, l'éloignement des enfants et la perte d'autonomie. Connaître ces causes permet de mettre en place des mesures destinées à les prévenir.  Dans l’institution la cause de cet isolement est un repli dans leur chambre, un manque ou une absence de contact humain  à l’intérieur ou à l’extérieur dans l’institution. Cela a pour conséquence une sensation d’indifférence et de tristesse chez le résident. Qui se sente abandonné ou délaissé par leur entourage.

     

    Aussi Philippe Crône explique comment éviter l’isolement des personnes âgées : « [1]C’est l’adaptation avec interaction sur son environnement. Social, culturel et matériel et est influencé par lui. Les personnes intégrées évoluent avec leur environnement. Les résidents adaptés ont généralement des chambres personnalisées et une vie sociale ouverte. »

     

    ·         Germaine Duclos explique que : «  [2]l’Images/ Estime de soi/ son corps est fait de quatre composantes :

     

    1) le sentiment de confiance,

    2) la connaissance de soi,

    3) le sentiment d’appartenance à un groupe,

    4) le sentiment de compétence »

     

    Il ajoute que : « le sentiment de confiance est préalable à l’estime de soi. En effet, il faut d’abord le ressentir et le vivre afin d’être disponible pour réaliser des apprentissages qui vont nourrir l’estime de soi. Il en va autrement des trois autres composantes. On peut stimuler la connaissance de soi, le sentiment d’appartenance et le sentiment de compétence à chaque stade du développement, à chaque période de la vie, par des attitudes éducatives adéquates et des moyens concrets. Il faut donc accorder une importance toute spéciale à la sécurité et à la confiance. »

     

    Le problème des résidents se situe dans la prise de conscience de leur fin de vie, l’image du corps vieillissant. Ils se voient comme des personnes inférieures ou « inutile »  Donc ils perdent confiance et s’isole  pour ne pas être jugé.

    ·         Dépendance : "(3) à la mobilité exemple se faire conduire en chaise roulante ou être dépendant aux médicaments dus à la maladie. Dans la maison de repos clos Saint-Rémi, Certain résident n’admette pas qu’il soit dépendant car il voit sa comme de la pitié envers leur égard." Exemple : Il y’a une résidente qui refuse d’être aidé à l’heure du repas pourtant cette personne est paralysé de la main  droit et fatalement elle a du mal à manger. Mais un jour elle m’a confié que si elle ne veut pas être aidé c’est parce qu’elle veut garder une certaine autonomie même si cela à des conséquences.

    ·         Peur de l’inconnu : la personne âgée n’a pas de contact avec l’extérieur et donc celui-ci peut développer une certaine crainte de l’autre et de l’environnement.

    Ils ont un besoin de contact mais paradoxalement, ils ont peurs de ce lien social avec d’autre personne car l’habitude d’un isolement qui a dégrader ce lien social et qui doit  être réappris.

    Besoins et attente:

     

    ·         - Être en contact avec des personnes  à l’intérieur et l’extérieur de l’institution.

     

    ·        -  Les résidents ont un besoin d’écoute et d’échanger.

     

    ·          - Il y’a aussi un besoin d’existence en leur donner de l’affection.

     

    ·        D’être vue comme des personnes à part entière ayant des désirs, des sentiments, et des possibilités de développement.

     

     

    ·         Avoir un maximum d’autonomie.

    La [C.D.L.P dit dans sa Charte des droits et des libertés de la personne âgée dépendante, l’importance de Préserver l’autonomie et prévenir : « (4) La prévention de la dépendance est une nécessité pour l’individu qui vieillit. La vieillesse est un état physiologique qui n’appelle pas en soi de médicalisation. La dépendance physique ou psychique résulte d’états pathologiques, dont certains peuvent être prévenus ou traités. Une démarche médicale préventive se justifie donc, chaque fois que son efficacité est démontrée. Les moyens de prévention doivent faire l’objet d’une information claire et objective du public, en particulier des personnes âgées, et être accessibles à tous. »

     

    ·         Environnement sécurisant. (Les résidents veulent avoir une stabilité dans leur milieu de vie)

     

     


    -          [1] Philippe Crône, L’animation des personnes âgées en institution, Editions Masson, 2010, P4

     

    -          [2] Germaine Duclos, quand les tout petits apprennent à s’estimer, Éditions de l’hôpital Sainte-Justine, 1997.

     

    [3] Claudine Badey-Rodriguez, La Vie en maison de retraite, Albin Michel, 2003.

    [4] Commission droits et libertés des personnes âgées dépendantes de la fondation nationale de gérontologie.

     

     


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  • La place d'internet en maison de repos:

      "Internet continue de se développer et de devenir un outil de plus en plus indispensable. Aujourd’hui, de multiples démarches administratives peuvent être réalisées grâce à lui, très simplement.

    Si la Toile a longtemps été l’apanage des plus jeunes, ou presque, les aînés sont chaque jour plus nombreux à surfer sur le web.

    Pour pouvoir se connecter à internet, il faut cependant avant tout pouvoir disposer d’un ordinateur. Un décret d’avril 2009 prévoit la mise à disposition d’un ordinateur avec accès à internet dans les lieux de vie commune de nos maisons de repos.

    Toutes les maisons de repos situées en Région wallonne sont-elles aujourd’hui bien équipées de matériel informatique permettant l’accès aux « autoroutes de l’information » ?

    Je me doute que ça doit être très variable d’un établissement à l’autre, mais les ministres disposent-t-ils de données à propos de l’utilisation d’internet dans les maisons de repos ?

    L’outil est-il généralement utilisé de manière intensive ou de façon plus anecdotique par nos aînés ? Dans quel but se connectent-ils le plus souvent à internet ?

    J’ai lu dans une enquête dévoilée par un quotidien québécois que les 55 ans et plus utilisaient régulièrement internet afin de jouer à des jeux en ligne, participer à des concours ou se connecter aux salons de discussion et autres réseaux sociaux. Ces pratiques diverses peuvent présenter quelques risques, surtout quand on ne maîtrise pas l’outil avec précision. Nos seniors sont’ils suffisamment informés à propos du danger que peut également représenter internet ?

    Ces questions concernent évidemment les seniors ayant déjà une certaine expérience en matière d’informatique. Il convient toutefois de ne pas oublier les autres, ceux qui n’ont jamais mis les doigts sur un clavier mais qui, voyant leurs camarades à l’œuvre, aimeraient bien s’y mettre.

    La mise à disposition de matériel informatique au bénéfice des résidents des maisons de repos remonte déjà à plusieurs années.

    Ainsi, une expérience pilote, menée en 2004 à l’initiative du Ministre Thierry Detienne, avait permis d’équiper dix maisons de repos pour un budget total de 12.500 euros pour l’achat d’un ordinateur. L’établissement devait, à ses frais, prévoir une connexion ADSL et couvrir l’abonnement à un fournisseur internet. Outre ce financement, la formation d’un membre du personnel et d’une personne âgée de l’établissement avait été prévue.

    L’arrêté du Gouvernement wallon du 15 octobre 2009 portant exécution du décret du 30 avril relatif à l’hébergement et à l’accueil des personnes âgées, prévoit l’obligation de mettre à disposition, dans un des lieux de vie commune, un ordinateur permettant l’envoi et la réception de messages par voie électronique et l’accès à l’Internet, et ce tant dans les maisons de repos que dans les résidences-services.

    Autre chose est de connaître l’utilisation réelle qui est faite du matériel informatique, les situations rencontrées sont diamétralement opposées. A côté d’établissements où l’ordinateur reste en déshérence, dans d’autres structures il a fallu acquérir plusieurs postes.

    On constate que le défi est lourd à relever car face à cette nouvelle technologie de l’information et de la communication, les personnes âgées ont souvent une réaction craintive vu le développement récent de ces techniques avec lesquelles ils n’ont pas eu l’occasion de se familiariser notamment au cours de leur vie professionnelle.

    C’est donc en suscitant leur curiosité naturelle et leur volonté de communiquer que l’on pourra relever ce nouveau défi. Cela passe par un accompagnement et une aide appropriés, et notamment par l’organisation d’activités en appui de l’outil informatique.

    Des projets sont-ils proposés dans les maisons de repos équipées afin de former les aînés au b. a.-ba de l’informatique et de l’internet ? Un établissement est-il tenu de déterminer une personne-ressource pouvant venir en aide aux personnes rencontrant des difficultés avec internet ? Toutes les maisons de repos proposent-elles l’accès aux « autoroutes de l’information ?"

    Source: http://www.bavardage.be/blog/2012/07/03/internet-dans-les-maisons-de-repos/

    Rapport aux médias

    Cette article, nous montre bien l'utilité et l'importance d'internet sur la visibilité de l'information. Il nous montre également que ce média est peu utilisé par les personnes âgées pour cause de moyen ou manque de connaissance sur l'utilisation. L'information passe aussi par l'équipement est le financement de média telle que: la télévision, ordinateur... Car certain maison de repos n'investit pas de budget dans leur institution pour ces technologies. 

     

    La télévision:

     

    Comme il est dit par Vincent Caradec dans son site "Une place variable

    Dans l’étude du public de la télévision comme en d’autres domaines, les moyennes sont trompeuses et ne doivent pas faire oublier la diversité qu’elles recouvrent (Souchon, 1992). Ainsi, 35 % des retraités regardent la télévision plus de 30 heures par semaine, mais 33 % la regardent moins de 20 heures 5. De même, l’importance qu’ils accordent à la télévision est très variable : 38 % pensent que celle-ci leur manquerait beaucoup s’ils en étaient privés pendant deux mois, mais 23 % déclarent qu’ils n’en seraient pas du tout affectés. Pareille hétérogénéité n’est pas pour surprendre. D’une part, les clivages sociologiques classiques ne s’effacent pas lorsque cesse l’activité professionnelle : pour n’en prendre qu’un seul exemple, les anciens cadres et professions intellectuelles supérieures sont des téléspectateurs bien moins assidus que les anciens employés (19 heures hebdomadaires en moyenne contre 33 heures) et ils sont aussi moins nombreux à déclarer que la télévision leur manquerait beaucoup (18 % contre 45 % pour les anciens employés). D’autre part, la situation domestique et matrimoniale n’est pas sans conséquence : les retraités qui vivent seuls ont un temps d’écoute plus élevé que ceux qui vivent en couple (32 heures hebdomadaires contre 26 heures).

    Cette diversité de pratique s’accompagne de différences d’appréciation : certains minimisent le fait qu’ils regardent un peu plus la télévision depuis qu’ils sont à la retraite et mettent plutôt en avant leur refus de lui consacrer trop de temps, alors que d’autres reconnaissent que la télévision constitue désormais un passe-temps privilégié. Ces deux attitudes renvoient à des conceptions différentes — et socialement situées — de la retraite. La télévision apparaît, en effet, comme un loisir plus ou moins légitime selon que la retraite est considérée comme un temps d’épanouissement de soi ou comme un moment de repos. Ceux qui font en sorte de ne pas trop la regarder et qui prennent leurs distances avec elles sont plutôt les tenants d’un modèle « activiste » de la retraite, aujour­d’hui dominant. Regarder la télévision apparaît à leurs yeux comme une activité « passive », une distraction valable pour les personnes âgées et invalides, mais qui ne saurait convenir à de jeunes retraités « actifs ». À l’inverse, ceux qui consacrent plus de temps à la TV après avoir cessé leur activité professionnelle, sans ressentir de culpabilité particulière, voient dans la retraite un droit au repos après une vie consacrée au travail. La télévision constitue alors pour eux une distraction appréciée, qui sied à leur condition de retraité : « C’est un passe-temps, une détente », explique ainsi une ancienne employée de 64 ans, tandis que son mari, ancien ouvrier de 66 ans, indique qu’« on est en retraite ou on ne l’est pas ».

    Cette diversité se reflète aussi dans la place que la télévision — et, plus généralement, les médias — occupent dans la structuration du quotidien. De ce point de vue, on peut également opposer deux modèles. Dans le premier, le temps médiatique est circonscrit et fortement contraint par d’autres activités : l’écoute télévisuelle s’insère dans le temps laissé libre par les autres occupations et déborde rarement hors des plages horaires bien délimitées qui lui sont assignées. Dans le second, les médias sont au cœur de l’existence et structurent fortement la temporalité quotidienne, soit parce que les activités alternatives sont peu nombreuses, soit parce qu’elles se trouvent subordonnées aux horaires des émissions de télévision."

    Source: Vincent Caradec, Les seniors sont-ils télévores?,http://www.revue-medias.com/Les-seniors-sont-ils-televores,549.html 

                                                                          Rapport aux médias

     

     La télévision dans l'article nous dévoile que chaque personne âgée à sa relation avec ce média y'en a qui regarde trop mais il y'en aussi qui n'ont pas le privilège d'assez la regarder c'est à ceux-là que mon projet se dirige. Leurs donner les moyens d'être informer tout en ayant un esprit critique. Les personnes âgées ont le besoin d'être en contact avec les médias pour avoir une autonomie critique sur les informations données. Entant qu'éducateur je dois pouvoir sensibiliser les résidents à regarder les médias tout en ayant une réflexion sur la réalité de ceux-ci.  

     


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    Description du projet

    Le projet que je vais vous décrire sur ce blog est l'organisation de séance sur l'information en maison de repos. Cette séance permettra à ce public d'avoir la possibilité de regarder l'actualité médiatique et donc ensuite de développer un sens critique sur les informations visionnées.

    Ce projet consiste précisément à donner un moment et un lieu aux personnes âgées durant la semaine afin que ceux-ci puisse regarder le journal télévisé ou bien naviguer sur internet pour avoir accès à des sites d'information. Suite à cela, il y aura un cercle de parole pour que les résidents s'expriment sur l'information du quotidien et pouvoir discuter entre eux afin de les sensibiliser  sur l'actualité.

     

    Organisation

    Cette activité se fera par groupe de deux pour mieux encadrer c'est résident et de donner la parole à tout le monde. Pour l'organisation une après-midi sera destiné à ce projet. Des personnes de l'équipe seront responsables à la réalisation de l'activité.

     

    Lieu

    L'activité se fera à la maison de repos dans la salle de télévision  ou est aussi  entreposé  les ordinateurs. Le cercle de parole lui se déroulera dans une grande pièce pour accueillir le plus de monde.

     

    1ére étape du projet

    Tout d'abord, définir avec les résidents ce que c'est un média. Parler des différents médias qui existent. Parler du texte de Jacques Piétte pour amener de la théorie. Je vais demander à chaque résident de me dire quel média ils utilisent le plus dans leur quotidien afin d'introduire directement mon projet. 

     

    2éme étape

     

    Regarder le journal télévisé avec eux et leur donnée l'opportunité d'interpréter tous qu'ils voient dans les informations. Ils devront noter sur un support papier les informations qu'ils les ont intéressées dans ce journal.

    Matériel à disposition: télévision, Bic ou crayon, feuille de papier.

     

    3éme étape

    Faire un cercle de parole juste d'après la séance pour pouvoir débattre sur l'information prise en compte par les résidents. Je devrais introduire ce cercle par une question que je vais poser aux résidents. Exemple: Que pensez-vous de telle information?

    Puis chacun devra y réfléchir donc pour développer un esprit critique. Après cela laisser interagir les résidents. Pour ma part, j'essayerai à chaque fois de relancer le débat quand je voie qu'il y a un blanc mais tout en restant un peu en retrait pour garder une certaine autonomie au sein du groupe.

     

    4éme étape

    Conclure par un débriefing sur la base du débat donc chaque résident devra faire part de son ressentit lors du débat et éventuellement comment l'améliorer et puis ce sera l'heure du repas pour nos résidents.

     

    Objectifs projet:

    - développer un esprit critique des médias

    - développer l'autonomie de la personne âgée

    - développer l'écoute

    - Etre capable de partager ces opinions devant les autres résidents

    - Etre capable d'échanger entre résident

    - Etre capable de comprendre une information et de l'expliquer.

     

     


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